Les associations de consommateurs mènent des actions en justice contre les entreprises en tant que défenseurs des intérêts des consommateurs. Ces procédures judiciaires portent sur

Voici les bases légales

Dans les procédures de sanction, il faut trouver une Une multitude de règlements à prendre en compte

Mais les règles essentielles proviennent du CPC.

§ 890 Forcer à s'abstenir et à tolérer

(1. Si le débiteur contrevient à l'obligation de s'abstenir d'un acte ou de tolérer l'exécution d'un acte, il doit être condamné pour chaque infraction, à la demande du créancier, par le tribunal de première instance à une amende d'ordre et, si celle-ci ne peut être recouvrée, à une détention administrative ou à une détention administrative d'une durée maximale de six mois. L'amende individuelle ne peut dépasser 250 000 euros et l'emprisonnement total deux ans.

(2. La condamnation doit être précédée d'une menace à cet effet qui, si elle ne figure pas dans le jugement prononçant l'obligation, est délivrée sur demande par le tribunal de première instance.

(3) Le débiteur peut également être condamné, à la demande du créancier, à constituer une garantie pour une durée déterminée afin de couvrir le préjudice résultant d'infractions ultérieures.

Ce règlement constitue le point de départ central de ce qu'on appelle la Procédure de sanction représente.

"Détention ou emprisonnement" ?

La formulation est compliquée et pas facile à comprendre.

Sur qui une peine de prison est-elle exécutée ?

Une peine d'emprisonnement (détention d'ordre ou de substitution) est exécutée soit directement sur le propriétaire de l'entreprise, soit, dans le cas d'une personne morale comme la SARL, sur la personne chargée de la gestion.

Cela vaut d'ailleurs aussi pour les cas où le titre est plus ancien, mais où la direction a été nommée à très court terme.

Nous estimons que la crédibilité d'une association implique aussi de contrôler si une entreprise respecte les injonctions.

Surveillance et suivi